Il faut se changer les idées [Sarah]

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Voilà peut de temps qu’on les avaient fait venir avec toute l’équipe pour essayer de trouver les coupables qui causaient la vague de terreur sur la ville surnommée la grosse pomme. Ca n’allait pas être simple mais comme à chaque fois, ils y arriveraient, ils ont connu pire. Quelques jours maintenant qu’ils planchaient intensément à essayer de construire des profils, deviner les attaques, allez voir les dégâts sur le terrain, comment ils l’ont fait. Autant dire que le soir, quand elle rentre, elle se couche et s’endort rapidement. Quoique son esprit parfois retourne et chercher une solution alors même qu’il devrait dormir. C’est encore un peu dans le sommeil, qu’elle était arrivée à son bureau. Ils avaient reprit le travaillent comme d’habitude. Finalement, ce fut le moment de la pause de midi, une bénédiction.

Emily n’avait pas très faim, mais elle choisit d’aller voir à la cafétéria ce qu’il y avait, question de pouvoir au moindre boire quelques chose. Bien que le café comme partout n’avait d’égal que du jus de chaussette, rien en valait celui qu’on préparait soi-même, celui à au moins du goût au contraire de celui fade des machines. Enfin peut importait réellement, seule comptait l’apport de caféine dans l’organisme. Ces pas l’emmenèrent vers l’endroit désiré en descendant une petite volée d’escalier. Seulement, à peine son ombre passa t-elle par la porte qu’elle put voir que l’endroit était véritablement envahi de monde. Tout le monde avait-il décidé de venir prendre un petit remontant à la même heure ? La brune retient un sourire et va chercher son café. Voulant surtout ce changer l’esprit au détriment du calme qui peut régner à leur étage, elle chercha du regard une place libre ou elle pourrait s’assoire. De préférence près d’une fenêtre de quoi profiter de la vue qu’offrait ce bâtiment. Finalement, elle ne vit qu’une petite table au loin, mais il s’y trouvait déjà une femme.

Bah, qui n’essaye rien n’a rien. Emily, s’avança dans la direction qu’elle avait vu, jouant au Gymkhana entre les tables en faisant attention de ne pas perdre une goutte de ce précieux breuvage. Enfin, elle arrive à destination, elle s’approcha de la table et s’arrêta face à celle ci. Elle posa son regard vers la personne installée et prit la parole.

-Puis-je m’assoire avec vous ? Il n’y a plus énormément de place ailleurs.

Elle esquisse un léger sourire.

Cela faisait quelque temps, déjà, qu'une partie des locaux du JAG de Falls Church, avait été déplacé au sein des locaux du FBI. Et pour tout vous dire ce n'était pas tellement la joie de ce retrouver au sein d'une foule d'agent du FBI, au teint pâle et grincheux- pour la plus part. Mais bon, elle n'avait pas le choix, c'était l'armée qui décidé. Cela lui importait peu de toute façon. Car dans trois à quatre mois, le Colonel Sarah MacKenzie aurait officiellement prit sa retraie de l'armée. C'est vrais quoi, de un cela 21 ans elle était chez les marins et de deux, elle avait perdu au lançait de pièce, qu'elle avait fait avec Rabb pour savoir lequel des deux poursuivrait et qui arrêterait. Et Sarah devait avouer qu'elle était contente d'avoir perdue, car elle aurait plus de temps pour s'occuper de son couple et aussi d'envisager d'avoir un enfant. Alors elle n'allait surement pas se plaindre de finir sa carrière, comme Colonel du JAG, dans les locaux du FBI.
Mais bon, je crois que vous et moi avons mieux à faire qu'écouter les récits de la trépidante vie du Colonel MacKenzie. Non, je rigole, de toute façon vous n'avez pas le choix ! Bref …
A l'heure de la pause, Sarah sortie de son bureau et s'étira légèrement. Cela faisait tellement de bien de se lever après quatre heures passé assise dans un bureau. Ceci fait elle prit l'ascenseur pour aller à la cafétéria situer trois étages plus bas.

Arrivé à destination, elle crue rêver, il y avait un monde fou. Comme si tous les agents du FBI, et du NCIS qui avait été transféré ici, avaient décidé d'aller prendre un café en même temps. Bref .. Mac avança dans la foule, saluant quelque personne, et se servant un café noir sans sucre. Quoi cela vous étonne de voir une femme boire un café noir sans sucre ? Et bien vous ne devriez pas, car Sarah était un marins et les marins adore le café noir … D'ailleurs, il existe une réglé disant qu'il ne faut jamais toucher au café d'un marins, non ? Bref …
Son café en main elle avança jusqu'à une table libre, près d'une fenêtre. Et oui, Mac aimait bien regarder la ville depuis une fenêtre de l'énorme bâtiment noir du FBI. C'était peut être un moyen, inconscient, de s'évader le temps d'une pause.
Sauf que cette fois, elle sortie de sa rêverie, car une jeune femme demanda si elle pouvait s'assoir. Mac répondit alors,

« Oui... oui … allez-y. »

De toute façon rien n'aurait peu l'empêcher de s'asseoir, car ce lieu était "public" pour les fédéraux, et en plus Mac était bien élevé. Alors vous ne pensez pas qu'elle allait refuser. Surtout qu'à choisir la jeune femme semblait sympathique, enfin beaucoup plus que l'agent, assez rond, et gras qui cherchait une place en pestiférant.

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Ces changements brutaux de lieu, ou même de ville, ne la dérangeait pas le moins du monde au contraire ça lui rappelait une partie de son enfance. C’était un peu quelque chose de joyeux bien que la raison qui les poussaient à faire ses trajets était plutôt sinistre et macabre ne donnant une raison de s’en réjouir que quand le criminel était sous les verrous et les familles avec les informations qu’elle méritait de savoir. Cependant oui quand on n’a passé presque tout son enfance à voyager et à devoir à chaque fois s’avancer vers de nouvelle personne, au moins à présent, elle le faisait avec peut-être un peu plus de facilitée que n’importe qui. Tout est une question d’habitude n’est ce pas. Du moins, elle le pensait. D’un côté peut importe, il fallait s’y habituer et voir autant de monde tourner et bouger, travailler dans un même local, donne surtout un brouhara intensif.

C’est d’ailleurs à peu près un vacarme qu’on peut entende dans la cafétéria en ce moment. Les personnes qui parlent sûrement un peu plus fort pour s’entendre, les verres qui s’entrechoquent ou se font redéposer parfois brutalement sur les tables, les chaises qu’on racle sur le sol...Enfin bref, de quoi vous donnez un peu mal de tête si vous ne confinez pas votre cerveau à une seule et unique tache. Autrement dit ne pas essayer de chercher ou de comprendre tout ce qu’on peut entendre, mais ne se fixer que sur une conversation et oublier ou tenter d’oublier tout ce qui se passe autours. Emily s’était avancée vers la femme qu’elle voyait assise, bon elle aurait put aller demander à une autre personne aussi seule à sa table, mais si elle devait y aller avec les hommes déjà il risque de prendre ça pour de la drague hors ça ne serait pas du tout le cas. Et puis de loin, elle avait l’air sympathique mais aussi dans ses pensées. Heureusement, elle lui répondit par la positive.

-Merci beaucoup.

Elle déposa son gobelet et tira donc la chaise en prenant attention de ne pas bousculer les tables pas loin en la tirant trop fort et s’assit. Remarquant qu’elle oubliait un peu toutes les règles de politesse, l’agent du Fbi, reposa doucement son regard vers la jeune femme avant de se présenter.

-Je me présente, je suis Emily Prentiss et vous ?

Il fallait bien commencer la conversation et c’était une manière plus ou moins logique. Elle prit son gobelet encore chaud avant d’en boire une petit gorgée avec délectation bien que le goût n’était pas top.

Comment décrire l'ambiance qui habitait ces lieux ? Vacarme assourdissant … peut être bien, mais alors ne pouvait s'appliquer qu'ici. Car aux étages supérieurs et inférieurs, ce n'était pas les bruits de discussion, de chaise que l'on bouge sans discernement qui faisaient la lois … non, en fait dans les autres étages c'était les sonneries de téléphone, les bruits des claviers où 'on tape son texte à toute vitesse, le bruit de la ventilation qui ne marche qu'une fois sur deux, et qui donne à cette sorte de silence un côté presque oppressant. Voilà comment on pouvait décrire les lieux. D'ailleurs on pouvait même dire que c'était presque rassurant de se retrouver dans un endroit où il y à beaucoup de bruit, et de discussion. Car cela vous permet de vous concentrer sur autre chose que le travail, tout au moins pour un temps. Et cela était reposant. En effet, passer ses journée à lire des comptes rendue de dossiers sur des accidents, des vols, des agressions, des meurtres, à regarder des photos, pas toute très jolie … Et bien cela vous faisait comme rentrer dans un cercle vicieux. Encore, MacKenzie avait de la chance car elle ne travaillait que sur les affaires concernant l'armée, alors elles n'étaient pas vraiment très nombreuses. Alors elle plaignait les agents responsable des crimes violents ... Bref …

C'est en entend la jeune femme se présenter, qu'elle se rendit compte qu'à force de penser, elle en oublier les bases élémentaire de la politesse. Sarah répondit alors avec un sourire,

« Colonel Mac... Sarah MacKenzie, mais appelez moi « mac »

Sur le coups elle se demanda pourquoi elle avait répondu comme si elle parlait à un autre militaire. Mais bon passons. De toute façon elle avait bien dû se rendre compte que Mac était un militaire, surtout à la vue du « magnifique » uniforme bleu marine, qu'elle portait aujourd'hui.

Sarah but une gorgée de son café, qui avait tout juste commencer à refroidir, et dit,

« Vous travaillez pour le FBI ? »

Logique vous vous dites ? Mais, elle aurait très bien peu travailler pour le NCIS !

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Etre assis est quelque chose qui peut être considérer comme reposant ou agréable. Mais quand vous passez une bonne partie de la journée sur bien calé dans votre chaise, c’est quelque chose qui devient lassant et on n’est fatigué d’être fatigué. Enfin vous voyez le principe. Mais en même temps boire son café debout n’est pas très facile surtout dans l’agitation qui règne ici. On dirait une vrai petit fourmilière qui s’agite dans tout les sens. C’est imagé bien sur mais facile à replacer dans son contexte. Cependant, elle quitta un peu cette agitation quelque seconde regardant la vue qu’elle avait voulu voir en cherchant des places libres près de la fenêtre. Bon allez de toute façon, elle avait passé al matinée au bureau, il y avait encore une scène à analyser et a allez voir, c’est décidé elle irait avec l’agent qui s’en occuperait question de bouger un peu et de voir sur place. Car au finale, une tête, une autre tête vous finissez par les mélanger toutes et ce n’est plu efficace. Hors ils avaient tous besoin d’être au top niveau et le plus vite que possible. Enfin, elle se tira de la torpeur pour se présenter. Quand elle prononça son nom, elle réalisa alors que c’était plus qu’évident vu son habit. Arf, elle faisait bien piètre profileur là que ne pas l’avoir vu, en même temps qui vous côtoyer n’est pas important de savoir et entre eux, ils s’étaient toujours dit q u’ils ne se profileraient pas.

-Enchantée de vous rencontrez alors Mac...

Dit-elle dans un léger sourire à l’encontre du Colonel, elle avait presque oublié pendant un moment qu’eux aussi était arrivée dans ce bâtiment. Et après, elle s’étonne qu’il y a tant de monde, logique. Elle continuait de siroter tranquillement son café, se délectant de la sensation que sa pouvait apporter. Elle le déposa délicatement sur la table et ramena son regard noisette vers elle quand elle posa sa question. Elle acquiesce d’abord tout simplement avant que sa voix ne s’élève dans ce tumulte.

-C’est excate, enfin je suis du département des sciences du comportements…Je suppose que vous, vous travaillez au Jag ?

Bête question, elle le sait très bien mais bon colonel, remarquer ça pourrait être de la marine, ou du Ncis, mais elle ne serait pas habillée comme ça si elle était au Ncis, plus dans quelque chose qui fait civile et passe partout.

-Vous travaillez déjà ici ou on vous a fait venir également ?

« Moi de même ... »

Répondit notre marins après que la jeune lui ai dit qu'elle était enchanté de la rencontrer.
Après qu'elle eu posé sa question, un léger et court silence s'installa, enfin si l'on peut appeler cela un silence. En effet l'agent spécial Prentiss était entrain de boire son café, et Sarah faisait de même, alors il évident qu'elles ne parlaient pas. Enfin vint la réponse, qui semblait évidente si l'on regardait le badge, à la question de Mac. L'âge jeune femme avec qui elle entamait une discutions travaillait effectivement au FBI, mais plus précisément au bureau des sciences du comportements. Tiens donc, c'était pas tellement si courant que ça de rencontrer une profiler.

« Exactement, je travail au JAG … Le département des sciences du comportements, vous dites. Ca ne doit pas être très joyeux tous les jours chez vous ... »

Elle disait ça, car elle avait déjà collaboré avec des « profilers » et à chaque fois c'était sur des affaires assez … marquante, dirons nous.
La jeune femme, lui demanda si elle travaillait déjà ici, ou si on l'avait également fait venir. Tiens donc, intéressant, alors en plus du NCIS et du JAG, le département des sciences du comportements avait été aussi envoyé à New York. Sarah répondit alors,

« Oui, c'est ça. On a déplacé mon département ici … Alors comme ça vous aussi on vous à demandé en renforts . »

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L’agent Prentiss esquisse un sourire quand elle lui répond la politesse d’usage. Avant de reprendre sa préoccupation du moment c’est à dire la boisson foncée qui était face à elle. D’un côté ça empêcherait à son estomac de se rappeler à son bon souvenir, car la jeune femme n’avait pas vraiment envie de faire toute la fille juste pour aller chercher un sandwich. Oh avec un peu de chance, elle prendrait quelque chose en revenant vite fait tantôt. Le café remplirait la part qui veut commencer à tirailler. Et puis ne dit-on pas que la ou le brasseur passe, le boulanger ne passe pas ? Après tout tant cas faire, ça ne serait pas non plus la première fois qu’elle ferait l’impasse sur son repas de midi. Enfin soit, passons, tout le monde se moque de ce qu’elle fait le midi. La conversation reprit sur les présentations, principalement sur leurs métiers respectifs. Elle écoute la question et un nouveau sourire viennent fleurir sur son visage. Bon elle savait ce n’était pas joyeux, on n’en voyait de toutes les couleurs et surtout des gens qu’on peut qualifier de réellement atteint ! Mais le but était de les mettre en prison donc ça donnait une motivation, un but à atteindre. La brune tourna son regard vers l’agent du Jag.

-Est ce joyeux quelques parts ? Je ne suis pas sur, mais c’est vrai qu’on voit toute sorte de chose mais si on le fait c’est pour mettre ces criminelles sous les verrous, c’est le but qui nous fait tenir et puis sil y a quand même des moments plus heureux…

Entre autre évidemment, il a aussi de moment de bonheur quand une fillette retrouve ces parents après tant d’année, quand on permet de retrouver à temps une victime qui peut reprendre sa vie. De plus l’ambiance dans l’équipe était très bonne bien qu’il ne sert à rien de vouloir battre Reid à un jeu quelconque. Elle a déjà donné et perdu évidemment royalement on s’en doute bien. Ah eux aussi donc c’était fait déplacer. En gros, il avait amené tout ça a New York d ans un sens c’était pas beaucoup mieux, ça laisse le champ libre dans les autres états de un et de deux ça fait énormément de monde à gérer et surtout les média. Ce qui expliquerait pourquoi JJ coure un peu partout.

-Oui, il y a quelque jour, on nous a demandé de venir…Décidément, nous allons tous nous retrouver dans la même ville et en partie dans le même bâtiment, par contre je ne suis pas sur que se soit une bonne chose.

Si l’attentat n’était pas déjoué, ça ferait surtout plus de victime. Passons. Elle reprit une gorgée de café.

-Pourquoi avoir choisit le jag si je puis me permettre la question ?

Bête question et sans rapport avec avant mais sur le coup l’agent du FBI n’avait pas mieux à dire.

L'agent spécial Prentiss avait tout à fait. A l'heure actuel il est presque impossible de trouver un lieu où c'est joyeux. Serte il existe des endroits où les gens essaye de le faire croire mais... ne nous emportons pas sur une question existentielle voulez vous ... Mais elle avait aussi raison en disant que si ils font ça c'est pour mettre des criminelles derrière les verrous, et que c'était le « but » qui les faisait tenir. En plus de ça il y a aussi des moments un peu plus « heureux ». Et il est vrais que cela faisait quelque chose de vraiment réconfortant quand vous retrouvez quelqu'un qui à était enlevé, un enfant kidnappé, où d'autre chose. Mac savait d'ailleurs l'effet que cela faisait, tout comme l'agent spécial Prentiss surement, car elle avait travaillé sur pas mal d'enquête de meurtre, enlèvement, disparition, etc …

« Vous avez raisons ... »

Pas très loquasse, mais que dire d'autre ? Bien sur elle aurait peu dire plus, mais honnêtement elle ne savait que dire de plus, alors elle n'allait pas parler dans le vide, et « gaspiller » de la salive.
Reportant donc son regard sur le dehors, elle écouta ce que disait son interlocutrice. Tout en regardant les immenses building, les petits immeubles, les rues déjà complètement saturé par une circulation trop dense. Ce qu'elle ressentait à ce moment ? Elle se sentait toute petite, comme absorbé dans cette immense jungle de béton, de fer et d'acier. Puis, une fois que la jeune femme eu finit de parler, elle répondit, reposant son regard sur cette dernière,

« Il est vrais que ce n'est pas vraiment une super idée, tant au niveau administratif, qu'au niveau de la sécurité … Mais bon, peut être que les politiciens ce sont dit que les « méchants » prendraient peur à la vue de ce regroupement, soudain, d'agent fédéraux, et de militaire... Allez savoir. »

Ensuite, pendant quelque seconde, ni l'agent Prentiss, ni Mac, ne dirent quelque chose. Sarah en profita donc pour boire plusieurs, petite gorgée, de ce succulent café – bien sur cela est un euphémisme !
Mais la parole retrouva bien vite son « droit naturel », dirons nous, et l'agent Prentiss demanda, le plus poliment du monde, pourquoi elle avait choisi le JAG. Sarah souris alors légèrement et répondit,

« Je ne sais vraiment pas pourquoi. Peut être pour essayer de me racheter. Ce dont je suis sur c'est que le droit ma toujours attiré alors quand j'étais encore dans l'infanterie j'ai passé des diplômes pour rentrer au JAG. Et visiblement ça a marcher car j'ai dessuite eu un poste, ils ont du certainement ce dire qu'une avocate n'avait rien à faire sur les champs de bataille en Bosnie... »

Elle marqua une légère pause et demanda,

« … Puis vous retournez la question, en vous demandant pourquoi le département des sciences du comportements plutôt qu'un autre ? »

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Contente qu’on n’approuve ces dires ? Bof si on veut, la jeune femme se doutait bien que partout quand vous êtes dans des organisations pareils, on ne voit pas que des cas encore gentils mais des horreurs, peut-être surtout eux. Aucune idée, mais comme ils arrivent pour des tueurs en série, c’est gens là ne sont pas souvent réputée pour leurs gentillesses et sont en tout cas dérangée mais dit plus lucidement, ils ont une compréhension du monde qui les entourent qui est absolument pas celle connue et approuvée par tous. Néanmoins, c’était comme ça de tout temps, il y a eut des fous, ça continuera éternellement. Mais de savoir en mettre quelques uns en prison est déjà en soit, un bon but, un soulagement de savoir qu’on sauve des centaines de personne d’un sort atroce. Elle donna son avis, après tout ça ne coûtait rien et ça pouvait être utile. Cela juste avant de reprendre une petite gorgée de café. D’ailleurs celui descendait comme neige au soleil. La moitié était déjà passé, alors à moitié vide ou à moitié remplis ? On pourrait en faire une longue réflexion intéressante mais c’est complètement inutile à faire. Ils y avaient tellement choses plus intéressantes ou urgences dans ces locaux. A entendre la voix de Sarah reprendre la parole, elle tourna la tête dans sa direction.

-Prendre peur de ça ? Je ne pense pas que ces gens en aillent peur au contraire on leur donne l’occasion rêver de taper plus fort et de prendre le risque de faire plus de victime. Les politiciens croient bien faire mais je ne suis pas certaine que c’est la meilleur chose à faire. De plus on a tous nos juridictions, nos manières de faire et ça n’arrange pas tout le monde de collaborer avec d’autre. Pourtant ce n’est pas le moment d’être désunis au contraire, il faut faire face.

La question qu’elle posa par la suite n’avait certes pas beaucoup de rapport avec les précédentes mais c’était un terrain de discussion comme une autre. Emily pouvait s’attendre à un refus tout simple de la jeune femme mais elle commença à lui répondre, alors elle l’écouta avec attention tentant de diminuer le rythme de la descende su café dans son gobelet par la même occasion.

-C’est sans doute vrai

Dit-elle avec un sourire quand la contre question lui arrive.

-Bien sur…Disons que j’ai énormément voyagée dans ma jeunesse à rencontre plusieurs types de personne de caractère. Les réactions m’ont parfois blessée mais souvent intriguée, je voulais faire quelque chose d’utile et le tout rassembler à pousser mon choix dans cette direction.

Elle esquisse un autre sourire et termine son café, elle ne trouva pas d’autre question à poser directement, elle n’était pas dans un interrogatoire voyons. Puis regardant son café, elle se retourna vers la femme.

-Vous en voulez encore un ?

Il est vrais que cette concentration soudaine d'agent de l'état, dans un même bâtiment, était un cible de choix pour la milice. L'agent Prentiss avait encore raison, en disant que les politiciens croient faire le bon choix, mais en fait ce n'était du tout sur. Il n'y avait cas prendre l'exemple de la collaboration FBI/NCIS, même dans la cafétéria on pouvait en voir les effets. Les agents du NCIS d'un côté et les agents du FBI de l'autre. Alors elle avait tout a fait raison en croyant que ce n'était pas forcément un bonne idée.

« Mais les politiciens ont-ils déjà fait quelque chose pour nous faciliter la vie ? »

C'est vrais quoi, la plupart du temps, quand ces chère député, et Sénateur essayaient de faire quelque chose de bien pour les agences fédérale et de police, ça finit toujours en eau de boudin. Alors il est vrais que ça n'étonnait pas tellement.

Juste après ça l'agent Prentiss répondit à sa question. Mackenzie écouta attentivement la réponse fourmis par son interlocutrice. Alors comme ça elle était intrigué par les réactions des gens et c'est pour ça qu'elle s'était tourné vers cette branche. Et bien, l'agent Prentiss devait vraiment un très bo agent car elle semblait passionné par son métier.

MacKenzie finit son café quelque instant après la fin de la réponse. Puis, attrapant légèrement son gobelet elle dessina de léger rond, tout en regardant, encore une fois, dehors. Ces immenses immeubles, au façade grise. Mais passons … Car l'agent Prentiss venait de demander si elle voulait encore un café. Sarah réfléchit quelque instant et répondit,

« Oui … je dois vous avouer que je ne tourne quasiment qu'au café … Alors, un de plus, ou un de moins ... »

Mac sourit légèrement. Puis il lui vint une chose à l'esprit, Sarah demanda alors,

« Je peux vous demander quelque chose ? »

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A entendre la réponse, l’agent Prentiss s’autorise à un léger sourire à l’encontre de Mac. Elle n’avait pas tord la plupart des décisions qu’ils ont put prendre rendaient les choses plus compliquées qu’elle ne l’étaient auparavant. Prenez l’exemple des champs d’actions. En essayant de décrire qui a l’affaire à quel moment, ils ont rendu tout compliquées, les champs d’actions se chevauchent, son parfois si proche qu’ils créaient des tensions. Est ce vraiment d’une sécurité désunie entre elle que le pays à besoin ? De toute évidence surtout pas maintenant ! Même si les habitudes sont tenaces vu que chacun avait son petit étage personnel. Elle continue de tremper un peu ses lèvres dans ce café si fade avant de répondre naturelle sur le ton de la conversation. Tout le monde à le droit d’avoir son avis mais pour le moment elles ont l’air plus ou moins d’accord sur leurs points de vue.

-C’est vrai que c’est une question intéressante. Je ne sais pas trop, disons que certaine sont bonne d’autres absolument pas même si elles partaient sans doute d’une bonne attention…Quoique parfois on peut émettre des doutes.

Emily esquisse un sourire. Et arrive donc à discuter de pourquoi l’étude des comportements. Juste après elle termine la dernière gorgée de café ! Qu’est ce qu’il devait écouler comme stock de cette boisson en prenant en compte que des agents fédéraux ne consomme pratiquement que ça et plusieurs par jours, multiplier par le nombre immense d’agent dans un même lieu. Ca lui donne presque de la pitié pour les personnes qui tiennent la cafétéria tient. Finalement pensant allez s’en rechercher un, elle l’avait proposée à l’avocat du JAG qui répondit par l’affirmative.

-Je pense que c’est le cas de beaucoup de personne ici même si le café est comme toujours infecte, ne trouvez-vous pas ?

Infecte mais on le buvait quand même. Elle s’apprêtait déjà à se lever, du moins la brune avait déjà décalé un peu plus sa chaise de la table quand la voix de sa vis-à-vis l’interpella de nouveau. Emily resta donc assise et retourna son regard vers elle avec un léger sourire confiant.

-Bien sur, allez-y je vous écoute…

Elle se demandait bien ce qu’elle voulait lui demander.

Ce que disait l'agent Prentiss était tout à fait. Car, il est certain, que parfois ces très cher politiques essayaient de faire des choses pour améliorer le vie d'une agence, où d'un département de l'armée. Mais bien souvent cela portait un tord à une autre agence, où à un autre département. D'ailleurs ceci n'était pas un principe économique ? « on ne peu pas améliorer la situation d'un agent économique sans détériorer celle d'un autre » … Si c'était exactement ça.

C'est ainsi que vint le sujet du café. Et là encore la constations était des plus juste. Effectivement si l'on regardé, 90% des personnes qui étaient présente dans cette pièce avait un café à la main, se resservait, où était entrain de se servir et ça même si le café du FBI était particulièrement infecte.

« Effectivement, le café ici vraiment infecte, et c'est le côté addictif qui nous pousse en reprendre, plus que l'envie du goût »

Ce qui était surement vrais. Pourquoi surement ? Car elle était certaine que certain agent, travaillant ici depuis plus de 15 ans, trouvaient le café d'ici vraiment très bon. Alors … Mais bon.
Quand Mac demanda si elle pouvait lui demander quelque chose, l'agent Prentiss semblait être en plein mouvement pour aller se resservir, mais elle s'immobilisa.
La réponse à la question Sarah fût positive? Mac réfléchit donc à bien formuler sa demande et dit,

« Je travail sur une affaire un peu compliqué qui nécessiterai l'intervention d'un profiler. J'ai demandé à mon supérieur l'autorisation de faire appel à quelque de qualifié pour ça, mais j'attends encore. Alors je voudrais savoir si, quand vous avez un peu de temps de livre si vous pouviez passer nous donner un petit coups de main. Mais je vous rassure ce n'est pas urgent cela fait plus de six mois que je me traine cette affaire. »

Ensuite les femme brune se levèrent pour aller prendre un peu plus de ce « délicieux » café. Avant d'aller de retourner s'asseoir, mais bizarrement la table qu'elles occupés quelque instant auparavant, était a présent occupé par deux agents. Bon c'était la vie, mais ce n'était tout de même pas … Passons.

« Je crois que nous n'avons plus qu'à rester debout. »

Invité

La conversation avait tourné vers cette boisson chaude, bien que certain la boivent encore froide, qu’est le café. Source incontestable de caféine et donc d’un stimulant énergétique pour que vos neurones puisse quand même fonctionner à plein régime alors que vous, vous êtes complètement fatiguée et que vous ne rêvez que d’une chose qui est d’aller retrouver votre lit. Enfin la, ce n’était pas vraiment le cas, elle n’était pas fatiguée mais un peu comme une drogue, il faut sa dose. Et puis, elle voulait aussi avoir quelque chose dans l’estomac sa éviterait de gargouiller ce qui est très gênant vis-à-vis des personnes qui ne sont pas loin de vous à ces moments-là. Ne parlons pas de chose qui mette mal à l’aise, car elle était plutôt bien dans sa peau en présent de l’avocate de Jag. Qui une fois de plus collabora à son idée de café infecte, remarquer le défi serait de trouver quelqu’un qui le trouve délicieux.

-Vous avez sûrement raison, ainsi que l’effet sur l’organisme…

Elle avait demandé si elle pouvait poser une question et l’agente du Fbi avait répondu oui, pourquoi aurait-elle refusé ? Elle n’avait aucune raison valable de le faire de un et de deux ce n’était pas du tout son style que de rembarrer la première personne qui passe ou qui pose des questions. Elle avait tourné la tête vers elle et attendait qu’elle s’explique dans le silence le plus total, du moins pour sa personne ce qui évidemment n’était pas le cas tout autours, on peut s’en douter. Quand enfin, elle reprit la parole. La plupart du temps, il fallait que sa soit la police ou du moins les autres agences qui demandent leur service mais si elle avait le dossier avec, rien n’empêche qu’elle y jette un petit coup d’œil pour aider oui pourquoi pas. A moins bien sur qu’elle aurait besoin de l’aide ses collègues ou de plus qu’une histoire et un dossier. Elle reprend la parole.

-Ecoutez, je veux bien jeter un œil dessus pour voir déjà ce que vous avez et tenter de vous aider quand j’aurais un peu de temps ou un soir après le travail ici si vous voulez ? Mais est-ce que vous avez le dossier qui y correspond et enfin je veux dire est ce que vous avez tout ce nécessaire ici ? Sinon, j’avoue que par téléphone ou faxe ça va être beaucoup plus dur pour moi.

Dit-elle avec un sourire. Si elle n’y arrive pas elle demandera à un de ses collègues mais il n’y a pas de raison qu’elle n’y arrive pas voyons. Peu après elles repartent donc dans la dure quête que sera allez chercher un café en raison de la file qu’on n’y fait. Enfin avec le précieux gobelet voilà que comme le proverbe le dit si bien, on n’a prit leurs places. Un soupire passe les lèvres d’Emily avant qu’elle ne se retourne un peu plus vers Mac à l’entendre parler.

-Malheureusement je crois aussi, à moins que vous voulez qu’on remonte à votre local si vous avez se dossier avec vous ?

Questionna la brune.